La signature électronique fait-elle partie de votre processus contractuel ?

Une récente enquête mondiale réalisée par l’IACCM a révélé que près de 20% des organisations ont mis en œuvre la signature électronique dans le monde entier. 16% affirment qu’il n’y a pas de projet de mise en œuvre. Les autres sont soit en cours de mise en œuvre, soit à l’étude. Où êtes-vous ?

Il est vrai que la taille de l’organisation joue un fort rôle : environ 55% des entreprises, dont le chiffre d’affaires annuel est entre 20 et 40 milliards USD, utilisent des signatures électroniques. Certaines industries telles que le secteur public, l’ingénierie et la construction ralentissent également nettement.

Bien que les problèmes juridiques liés à la force exécutoire dans les juridictions applicables demeurent un problème majeur, le principal obstacle a été finalement l’acceptation, que ce soit par le client, le fournisseur ou en interne. Cela reflète à son tour divers facteurs tels que la culture, la disponibilité et l’utilisation de la technologie et la dynamique politique interne de l’organisation.

Il est largement admis que cela réduit les temps de cycle des contrats avec des estimations comprises entre 3 et 5 jours. L’impact positif sur le client ou le fournisseur ainsi que l’amélioration de la réputation de la société sur le marché ont également été cités. Fait intéressant, dans les organisations, les ventes sont plus susceptibles de prendre l’avantage et de voir les avantages que la fonction d’achat.

Donc, si vous envisagez des signatures électroniques, il y a quelques points à considérer :

• Est-ce légalement exécutoire dans toutes les juridictions ?

• Vos clients ou fournisseurs disposeraient-ils de la technologie ?

• Quel est le niveau d’acceptation de vos clients, fournisseurs et parties internes qui ont des intérêts ?

• La réduction du temps de cycle peut-elle être démontrée quantitativement ?

• Y a-t-il d’autres avantages à considérer, tels que l’accès global des principaux dirigeants lors de leurs déplacements ?

En conclusion, les grandes organisations mondiales ont de plus en plus recours aux signatures électroniques et, même si des questions d’applicabilité et d’acceptation demeurent, l’enquête a révélé peu de problèmes après leur mise en œuvre.

Êtes-vous d’accord avec mon point de vue ? Je serais intéressé par tout commentaire que vous pourriez avoir.